Ma Chérie,
Comme tu me manques. Ce soir, je ne fais que pleurer. Je n'ai envie de rien.
Tu me manques tant. Que rajouter de plus que tout ce que j'ai pu écrire. La douleur est la même, le manque immense, intact. Ce n'est pas possible pour une maman de se remettre d'une telle disparition.
C'est une torture au quotidien. On survit. On fait semblant. On avance puis on recule ...
Je veux si fort te serrer dans mes bras. Je te dis "Je t'aime" et je regrette aujourd'hui de ne pas te l'avoir assez dit. Pourquoi ma fille chérie ? Pourquoi tu n'es pas là ? Tu manques aussi cruellement à ton fils qui n'arrête pas de me parler de toi. Il faut que je lui raconte TOI.
Je lui sublimerai toujours ton courage, ta force face aux épreuves que tu as si durement supportées.
Je t'aime tant et tant ; d'un amour de maman, infiniment. Tu me manques ; je ne peux même pas écrire ce manque tant il est profond dans mon coeur et dans mes tripes.
J'en crève de ne pas de te toucher ; je t'aime ; Pourquoi tout ça ?
Un jour on se retrouvera et on ne se séparera JAMAIS.
A bientôt ma fille.
TA MAMAN QUI T'AIME PROFONDEMENT.
Commentaires (1)
1. Maman 07/02/2014
4 h 30 et toujours pas trouvé le sommeil. Tu me manques tant.
Cette nuit je me sens perdue, désemparée, désorientée. Je te veux, là, près de moi.
Tout me revient ...
J'ai beau me dire que là où tu te trouves à présent, tu y es apaisée, délivrée de tes souffrances. Aujourd'hui ta disparition me fait tellement souffrir que je n'arrive pas à trouver un certain réconfort dans cette pensée de "l'au-delà".
On ne dit jamais aux gens qu'on aime qu'on les aime... Je culpabilise ... je t'aime, je t'aime infiniment.
Cette journée du 7 février va très certainement être très difficile au bureau, après cette nuit d'insomnie. Mais tant pis, pour ceux qui ne comprendront pas. De toute façon, je serai toute la journée AVEC toi.
Je t'aime, je t'aime .. ma Magali, ma fille.
Il me manque une partie de moi ; je me sens démembrée, il me manque à l'intérieur quelque chose de vital. Je suis "désenfantée". Cela fait mal, très mal, trop mal. On ne peut pas le traduire, le retranscrire. Une douleur particulière, une douleur à vie.
Il faut continuer MAIS avec une souffrance éternelle à l'intérieur.
J'ai tellement besoin de parler de toi. Tu étais si courageuse ... ma petite fille.
Je t'aime, je t'aime, je suis là tout près de toi.
TA MAMAN